Prime à la casse et prime à la conversion : quelles différences ?

Prime à la casse et prime à la conversion : quelles différences ?

La prime à la casse et la prime à la conversion sont des subventions accordées aux propriétaires de voitures qui sont prêts à mettre au rebut et à remplacer les vieux véhicules diesel ou à essence par des voitures neuves ou d’occasion moins polluantes. Elles ont pour but de réduire la pollution afin de préserver l’environnement. Mais quelles sont les différences entre ces 2 primes ?

Prime à la casse et prime à la conversion : de quoi s’agit-il ?

En effet, la prime de casse n’est rien d’autre que la nouvelle prime de conversion de nos jours avec de légers changements. Cette subvention s’adresse aux automobilistes adultes résidant en France qui souhaitent acheter ou louer des voitures neuves ou d’occasion peu polluantes pendant au moins deux ans, sortant directement du concessionnaire ou d’un mandataire. Depuis le 1er janvier 2018, tout le monde peut utiliser le bonus de conversion. Il peut être utilisé par tous les ménages, pas seulement par les ménages non- imposables. Pour compenser ce rééquilibrage, ceux qui ne sont pas soumis à payer d’impôts peuvent avoir une prime doublée.

Cependant, un certain nombre de normes doivent être respectées. Le prix d’achat de la nouvelle voiture a une limite maximale de 60 000 euros, en échange de la mise au rebut de vieux véhicules diesel ou à essence. Les voitures neuves ne peuvent pas être revendues dans les 6 mois suivant l’achat ou avant d’avoir parcouru au moins 6000 kilomètres.

Quels sont les critères d’éligibilités pour bénéficier d’une prime à la casse ou une prime à la conversion ?

Les critères d’éligibilité des véhicules hors d’usage ont été assouplis en incluant les Crit’air 3, Crit’Air  4 et Crit’Air 5 qui s’appliquent à tous les bénéficiaires. Cela signifie que l’ancienne voiture à mettre au rebut doit avoir sa première date d’immatriculation antérieure au 1er janvier 2006 pour les voitures essences et avant le 1er janvier 2011 pour les diesels.

Il existe aussi quelques différences subtiles. Il s’agit principalement d’une prime pour des véhicules électriques, pour un montant de 2 500 euros, contre 4 000 euros auparavant. Par conséquent, les conducteurs sont encouragés à acheter des véhicules électriques.

Un bonus de 5 000 euros a également été fixé pour les rétrofits électriques : conversion de voitures thermiques en véhicules électriques, RFR inférieur ou égal à 18 000 euros.

Il faut aussi noter que lorsque le bénéficiaire vit ou travaille dans la «zone à faibles émissions», les autorités nationales et locales émettront une surprime pouvant aller jusqu’à 2 000 euros financée à 50% pour l’achat d’un Véhicule hybride électrique ou rechargeable. Tout en rappelant que l’achat peut se faire chez un mandataire soit chez le concessionnaire directement.

Les primes écologiques ont également augmenté, passant de 6 000 euros à 7 000 euros (5 000 euros pour les professionnels) pour l’achat d’une nouvelle voiture 100% électrique, et 2 000 euros pour l’achat d’un nouveau véhicule hybride rechargeable.

D’une manière générale, la mise en œuvre nouvellement établie n’encourage pas les véhicules diesel. La tendance est plutôt aux nouvelles voitures électriques. L’achat de ce type de voiture nécessite beaucoup de bonus et de primes. Quel que soit le revenu du demandeur, tout le monde devrait en bénéficier.

Aslsnet

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